Compte tenu des nouvelles directives de la santé publique, les bureaux du Conseil central de Québec–Chaudière-Appalaches (CSN) seront fermés à compter de 18 h aujourd’hui, et ce, jusqu’au 13 avril prochain.
Au cours des prochaines semaines, l’équipe de travail du conseil central sera mobilisée pour assurer, avec l’énergie et le professionnalisme que vous lui connaissez, le maintien des services auprès des syndicats et de leurs membres au cours de cette période de turbulence. Vous pouvez joindre chaque membre de l’équipe à l’adresse courriel ou au numéro de téléphone habituel (bureau et cellulaire).
Prestation disponibles aux travailleuses et aux travailleurs
(Version à jour du 27 avril 2020) L’équipe du conseil central a produit un outil pour vous aider à vous démêler avec les diverses prestations en cas de mise à pied liée au COVID-19. Il nous fait plaisir de le partager avec vous.
À noter, dans le document PDF, vous pouvez cliquer sur les liens pour être redirigé vers le site Web pertinent.
Besoin d’aide ou d’accompagnement?
Si vous êtes syndiqué CSN : 418 647-5700
Si vous n’êtes pas syndiqué CSN, voici les groupes pouvant vous aider:
Le Conseil central de
Québec–Chaudière-Appalaches (CSN) annonce que toutes les formations ainsi que
toutes les rencontres élargies prévues au calendrier sont annulées jusqu’au 20
avril 2020, afin d’assurer la santé et la sécurité de ses membres et de son équipe
de travail en lien avec le Coronavirus.
L’équipe du conseil
central est toujours bien active et nous demeurons disponibles pour les
syndicats, n’hésitez surtout pas à nous interpeller.
Nous sommes à établir
actuellement un plan de contingence afin de maintenir les services et d’être en
mesure d’atténuer les impacts de l’actuelle crise. Le conseil central suivra
attentivement l’évolution de l’actualité et portera attention aux annonces
gouvernementales. D’autres communications sont à prévoir au fil de l’évolution
de la situation.
Nous tenons à
souligner l’apport extraordinaire de toutes les travailleuses et tous les
travailleurs qui sont à pied d’œuvre pour maintenir les services, tant dans le
public que dans le privé, dans cet état d’urgence sanitaire nationale.
En terminant, nous
tenons à saluer toutes les travailleuses et tous les travailleurs qui sont aux
premières lignes pour lutter contre la propagation du virus, et qui font preuve
d’un dévouement et d’une solidarité exceptionnelle, notamment nos membres du
réseau de la santé et des services sociaux. On ne le dira jamais assez : merci
pour tout ce que vous faites.
Informations
La CSN a mis une
équipe spéciale sur pied pour suivre l’évolution de la situation. Toute
question peut lui être acheminée par courriel à l’adresse suivante :
coronavirus@csn.qc.ca. Merci de leur indiquer votre titre d’emploi, le nom de
votre syndicat ou de votre employeur ainsi qu’une façon de communiquer avec
vous. La CSN tentera d’y répondre dans les meilleurs délais.
La CSN tient une page
web à jour pour informer son personnel, ses syndicats affiliés et l’ensemble de
ses membres :
Les gouvernements
fédéral et provincial soumettent une information à jour par le biais de ces sites
Web :
Québec, 5 mars 2020.
– Le Conseil central de Québec–Chaudière-Appalaches (CSN) a commandé une étude
auprès de l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques (IRIS).
Cette étude est maintenant terminée et est rendue publique ce matin.
Les résultats arrivent à point à la veille d’une vaste
réforme des lois en santé et sécurité au travail annoncée par le ministre du
Travail, Jean Boulet. « Il est plus que clair que la CNESST est à la dérive et
ne joue plus son rôle qui était à l’origine de sa création, il y a plus de 40
ans. Un coup de barre s’impose afin de faire disparaître le monstre parallèle
de judiciarisation qui se nourrit sur les personnes victimes d’accidents de
travail et de maladies professionnelles », affirme Ann Gingras, présidente du
conseil central.
Le Conseil central de Québec–Chaudière-Appalaches (CSN) est
présent dans ce dossier depuis fort longtemps et revendique des modifications
sur la base du respect des personnes salariées. « Au cours des prochaines
semaines, nous dévoilerons des exemples qui témoignent de l’abus de ce système,
qui manifestement ne joue plus son rôle », conclut la présidente.
Chantier Davie est le seul
choix logique pour construire le Diefenbaker
Québec, 28 février 2020. – Le gouvernement du Canada a annoncé
aujourd’hui qu’il consulterait l’industrie sur le remplacement du brise-glace
polaire Diefenbaker. Plus précisément, le gouvernement a publié une « demande
de renseignements » pour connaître les capacités des chantiers navals canadiens
afin de « construire et de livrer un brise-glace de classe polaire ».
Le communiqué gouvernemental précise qu’il s’agit d’une procédure
d’approvisionnement standard et que « les renseignements recueillis aideront le
gouvernement à déterminer la meilleure façon de procéder pour que le
brise-glace soit livré de la manière la plus efficace et le plus rapidement
possible ».
« Il est évident que Chantier Davie est le seul choix logique pour
remplacer le Diefenbaker », a déclaré Ann Gingras, présidente du Conseil
central de Québec–Chaudière-Appalaches (CSN), « surtout si l’objectif est que
le brise-glace soit ‘’livré de la manière la plus efficace et le plus rapidement
possible’’. Seaspan, qui en avait la responsabilité, devait livrer ce
brise-glace en 2017. La construction n’est même pas commencée et les budgets
ont plus que doublé. C’est l’argent des contribuables ».
Rappelons que les deux autres chantiers navals canadiens potentiellement
en mesure de livrer un tel navire ont déjà un carnet de commandes rempli et
accumulent les retards. En comparaison, Chantier Davie n’a pas de navire en
construction à l’heure actuelle. Il est le plus gros chantier naval au Canada
et concentre 50 % de la capacité de construction du pays. « Nos
travailleurs ont une grande expérience dans la construction des navires y compris
les brise-glaces. Ils ont fait leurs preuves à plusieurs reprises. Il est plus
que temps de les reconnaître », conclut Nicolas Samson, vice-président du
syndicat.