Après trois ans de surplace, elles veulent du concret à la table de négociation
Depuis le dépôt de leurs demandes en juillet 2015, les sages-femmes attendent que le gouvernement du Québec daigne négocier sérieusement avec elles. Des actions menées cet hiver semblent avoir fait bouger les choses et, au moment d’écrire ces lignes, des rencontres sont enfin prévues avec le ministère. « On revoit le ministère avec une contre-proposition, mais on veut du concret, des mandats, on veut conclure », explique Mounia Amine, la présidente du Regroupement Les Sages-femmes du Québec.
Par Nicolas Lefebvre Legault, conseiller à l’information